Il y en a plusieurs qui me viennent à l'esprit :
Il a été suggéré il y a longtemps que certains miroirs sur la lune pourraient être utilisés comme ligne à retard. Étant donné que la Lune se trouve à environ 1 seconde-lumière de distance, cela remporterait le pompon en tant que mémoire physiquement la plus grande. (À moins que vous n'optiez pour des réflecteurs à un endroit plus éloigné). En supposant que les nombreux obstacles à la construction soient résolus de manière adéquate, le plus gros problème opérationnel est la faible latence d'accès (1S en moyenne) et la capacité. Cela donne une mémoire qui a une taille de ~ 380 000 km.
Les bits de mémoire statique mis en œuvre avec de simples valves dans les registres des premiers systèmes seraient assez grands (20cm x 15cm x 15cm ?).
L'EDSAC et l'UNIVAC I utilisaient des lignes à retard de Mercure qui, avec des circuits de soutien, ont abouti à une capcité de 8960 bits logés dans sa propre chambre. Voir Delay line memory - Wikipedia
J'ai vu de la mémoire statique mise en œuvre avec des transistors discrets qui feraient environ 2,5 cm x 2,5 cm par bit.
J'ai également vu de la RAM non volatile mise en œuvre avec des perles de ferrite qui (sans compter les circuits de support) faisait environ 3 mm de diamètre par bit (et peut-être 4 mm d'espacement).
Bien sûr, la mémoire ultérieure est devenue beaucoup plus petite.