"Qui nous ressemblent"
Disponibles dès maintenant.
Les statues en vinyle peuvent ressembler étrangement à des corps humains, à tel point que leur photographie peut paraître plus réelle que des photos authentiques de parties du corps.
La partie la plus difficile est de faire en sorte que la peau et le squelette bougent de manière réaliste et il n'existe pas à ce jour de muscles artificiels viables.
"Qui bougent comme nous"
Peut être dans 50 ans.
Il est possible à l'heure actuelle de fabriquer des plastiques qui ont les mêmes propriétés mécaniques que les os, mais les muscles artificiels ont soit une force insuffisante, ne sont pas faciles à mettre à l'échelle, sont chers, difficiles à contrôler ou encombrants.
Un corps humain a des milliers de muscles, des fibres musculaires innombrables.
Peut-être que je surestime cette partie mais actuellement aucun robot humanoïde n'utilise de muscles artificiels, c'est donc un domaine où actuellement nous sommes à l'état expérimental.
Le robot Atlas de Boston Dynamics par exemple est très volumineux, et même s'il peut faire des backflips et courir, on est encore loin de pouvoir dire qu'il se déplace naturellement comme un humain.
Peut-être que la capture de mouvement et la biomimétique peuvent aider à ce niveau.
"Parlez comme nous"
L'avenir proche
Oh, c'est un peu facile si vous faites une sorte de chatbot qui utilise la parole préenregistrée.
C'est plus difficile mais un travail en cours si vous générez la parole à partir du texte. La parole a beaucoup plus d'informations que le texte, comme le langage corporel, le ton, la hauteur, le volume, les pauses et les expressions faciales.
Bien que de très bons progrès soient faits pour être appliqués dans les assistants domestiques, ou les assistants virtuels de smartphones.
Il est donc beaucoup plus probable que l'esprit de ces androïdes soit développé en premier, et ensuite nous adapterons l'IA dans le corps, et c'est la partie facile.
Même si une telle IA ne pourra probablement pas s'adapter, le processeur du robot peut utiliser un lien avec le cloud pour obtenir des commandes et relayer des entrées, il sera donc comme une marionnette sophistiquée.
Des ordinateurs plus efficaces en termes de puissance pourraient permettre à ces robots une plus grande autonomie à partir du cloud.